lundi 25 février 2008

Sarkozy souhaite envahir la Pologne


Dans la continuité de sa politique d’ouverture, le Président français souhaiterait, selon des sources proches, engager la France dans une « mini-fusion » avec la Pologne (1), afin d’atteindre la taille critique des 100 millions d’habitants d’ici 2010 lui permettant de rester compétitive à l’aune de la mondialisation, en devenant la troisième puissance mondiale.

Le Président aurait déclaré : « Je ne veux pas priver les millions de Polonais qui souhaitent intégrer la nationalité française de cette liberté. D’ailleurs, c’est amusant, ce sont les mêmes qui, il y a quelques mois, se scandalisaient des expulsions d’immigrés clandestins qui aujourd’hui veulent fermer la porte au nez de nos amis polonais. »

Fustigeant la gauche et autres bien-pensants droits-de-l’hommistes, Nicolas Sarkozy souhaite ainsi briser au passage le tabou du « racisme de gauche », que la plupart des medias continuent encore de taire. Pourtant, il n’y a pas si longtemps, c’est bien la France qui déclarait, à travers les propos de son ancien président : « Les Polonais ont perdu une occasion de se taire », alors que nos amis polonais souhaitaient manifester leur attachement aux Etats-Unis en participant à l’effort de guerre en Irak. Sur fond d’antiaméricanisme primaire, ce « racisme anti-blonds » qui ne dit pas son nom est pourtant aujourd’hui bien ancré à gauche.

La grogne ne s’est d’ailleurs pas fait attendre du côté du Parti Socialiste : Julien Dray et Ségolène Royal ont immédiatement lancé une pétition en ligne. Mais la polémique ne devrait pas entraver outre mesure l’action du Président, qui rappelle à juste titre les difficultés que rencontrent de nombreux Français à trouver un plombier compétent de nos jours.

Dans quelques jours, une proposition de modification de la Constitution devrait être votée au Parlement pour permettre, par voie démocratique, à ce grand projet volontariste de voir le jour, n’en déplaisent aux grincheux dont l’idéologie et les méthodes rappellent parfois celles de la Stasi.

(1) : une décision similaire fut adoptée par l'Allemagne en septembre 1939, comme le rappelle le porte-parole de l'UMP

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ach ! Comme disait si bien Woody Allen, à chaque fois que j'écoute trop de Wagner, ça me le fait aussi !

Jean-Pierre Martin a dit…

Ecouterait-il trop de Wagner ? L'hypothèse est à envisager, nous consultons nos sources.