mercredi 22 février 2012

SOS CAPITALISME (le film)

"Et tes gosses Bernard, t'y penses à tes gosses?Tu veux qu'ils vivent en Union Soviétique? Et toi Gontrand ça te fait marrer? Tu rigoleras moins quand il faudra mettre le petit Kevin à l'école publique!" Jean-Pierre Martin sait en général trouver les mots pour motiver son équipe. C'est pour ça que c'est le chef. "Alors les mecs, vous vous sortez les doigts du cul et vous allez au charbon. Je veux que le blog de Jean-Pierre Martin soit le moteur de la campagne".

C'est vrai que l'heure est grave. La tempête socialiste se précise. Et menace d'emporter avec elle 50 ans d'acquis fiscaux. "La gauche et son socialisme sauvage, dérégulé veulent détruire le pacte républicain. Ils veulent la mort des conseils d'administration" s'est emporté le président candidat. "Je ne laisserai pas la gauche faire des riches les éternels boucs-émissaires de la République".

On a donc décidé de faire un film. Un film engagé. Pour briser cette oligarchie de gauchistes efféminés qui règne sur la culture. "Les grosses tapettes" comme les appelle malicieusement Gontrand.

Voici donc SOS CAPITALISME, en collaboration avec la France d'Après Prod.


SOS CAPITALISME par La_France_d_Apres_Prod


Déjà des critiques élogieuses :
"Comme si Etienne Mougeotte avait croisé François Truffaut." Ivan Rioufol (Le Figaro)
"C'est pas un film de pédés!" Christian Vanneste (ex-UMP)
"C'est à ce genre de chefs d'oeuvre qu'on reconnaît la supériorité de la civilisation occidentale." Claude Guéant (Ministre de l'Intérieur)
"C'est pas du cinéma halal." Marine Le Pen (FN)
"Une démonstration limpide comme un éditorial de Laurent Joffrin." Nicolas Demorand (Libération)
"On en ressort des étoiles plein les yeux, comme après un plan de rigueur." Christine Lagarde (FMI)
"Bandant!" Dominique Strauss-Kahn (Place des Vosges)
"C'est un film subtil, j'ai pas tout saisi, mais on m'a dit de dire que c'était très bien." Liliane Bettencourt
"Je ne l'ai pas encore regardé mais j'ai déjà vu les deux premiers SOS Fantôme et SOS Médecin, c'est donc avec impatience que j'ai hâte de découvrir ce troisième volet." Frédéric Lefebvre (Think tank de L'UMP)
"Je ne suis pas totalement convaincu par ce film d'anticipation qui est à mon avis bien en deçà de la vérité, on n'y voit ni les bombardements ni les camps de prisonniers politiques." Bernard Accoyer (Chef de Guerre)
"De la bombe atomique!" Eric Besson (Enola Gay)